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« Port patrimonial ». Une étude programmée
1 décembre 2014.
À la suite de la signature de la charte et de l'adhésion à l'association « Port d'intérêt patrimonial », la commune a rencontré l'association le 16 octobre et une visite sur site a eu lieu sur le port de Lesconil. En application de la charte, les contours de l'étude de « Pré-expertise du patrimoine maritime de la commune » ont été précisés. « Les travaux d'études qui seront réalisés comprendront un relevé des héritages maritimes bâtis, une étude géographique des types d'espace à intérêt patrimonial », peut-on lire dans le document de référence. « Ces travaux seront conduits via des entretiens avec les acteurs clefs et les différentes catégories de population pour la compréhension des espaces dans leur profondeur historique, leurs usages actuels et les besoins futurs »
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Restitution publique
Le programme d'études prévoit « un rendu de l'étude géographique et sociale des espaces étudiés au moyen de documents pouvant être utilisés pour la communication auprès de la population et à l'extérieur (schémas, banque de photos, petits textes), l'émission de recommandations et règlements adaptés à la mise en valeur, la préservation et la conservation du bâti maritime qui doivent être intégrés aux documents d'urbanisme ». « Dans le cadre de cette prestation, une concertation est prévue tout au long de l'étude. Cette étude permettra notamment, dans le cadre de la prochaine révision du PLU, d'avoir une meilleure connaissance du patrimoine maritime et de cibler au mieux les éléments ou secteurs devant faire l'objet d'une protection particulière. La signature de la charte sur le patrimoine maritime intéresse l'ensemble du port ».
Source le Télégramme
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A3PL. Les plaisanciers aiment les crêpes
29 novembre 2014.
Tout au long de l'année, l'association des pêcheurs-plaisanciers de Lesconil, que préside Michel Le Berre, organise plusieurs animations pour ses adhérents : promenade aux Glénan, sorties pêches... Il en existe une qui fait l'unanimité : la dégustation de crêpes. Ainsi, samedi, à la Maison des associations de la rue Jean-Jaurès, au moins 40 adhérents et conjoints se sont retrouvés pour un repas crêpes.
Source le Télégramme
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Mouillages sauvages. Les domestiquer
18 novembre 2014.
Sans être une plaie, le phénomène du mouillage sauvage (mouillage d'un bateau sans autorisation) interpelle les services de l'État, pour qui ce genre de phénomène doit être régularisé. Avec, par exemple, la mise en place de zones de mouillages collectifs.
Un pneu rempli de béton, coulé au fond de l'anse juste devant la maison. Une chaîne, un flotteur et voilà un système idéal pour mouiller le bateau de plaisance. Idéal sans doute « mais illégal sans autorisation d'occupation du domaine maritime », rappelle Hervé Thomas, directeur adjoint de la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) de Quimper. Si ce genre de mouillage, « à l'arrache », est assez fréquent dans le Finistère-Nord « avec les abers qui offrent d'excellents abris naturels », on en trouve moins en Finistère-Sud.
Peu de pirates
40.313 bateaux de plaisance sont immatriculés entre Concarneau, Le Guilvinec, Audierne et Douarnenez. Tous ne sont pas nécessairement navigants ni dans le secteur. Dans cette zone, il y a « environ 200 mouillages sauvages », indique Jacques Guillou, des Affaires maritimes de Concarneau. Une quarantaine dans le secteur concarnois et assez peu du côté d'Audierne et de Douarnenez. Un peu plus de « pirates » en Pays bigouden avec « environ 100 mouillages sauvages ». Une bonne partie est « en cours de régularisation ». Environ 200 mouillages sauvages, « c'est assez peu ». Mais, pour l'État, « c'est une question de gestion de l'espace maritime », souligne Hervé Thomas. Un mouillage sauvage en attire souvent un autre, puis un autre et, après quelques années, l'occupation illégale du domaine public maritime devient « incohérente ». Comme ces mouillages installés dans des secteurs ostréicoles ou encore comme ce plaisancier qui en avait installés tous les mètres pour tenir compte de la hauteur d'eau en fonction de la marée : « C'est ingérable ».
Tout repose sur la Zmel
La solution ? « Tout d'abord le constat d'occupation illégale du Domaine public maritime puis la mise en demeure, pouvant conduire à une condamnation », rappelle le directeur adjoint. Mais « nous essayons toujours d'inciter à la régularisation, soit de manière individuelle avec une demande d'autorisation auprès de la DDTM, soit de manière collective avec une commune, une communauté de communes ou une association ». Le coût du mouillage autorisé individuel « se situe entre 150 et 200 € par mois », moins cher qu'une place de port. Outre les autorisations individuelles (environ 550 de Concarneau à Douarnenez), la réponse de l'État est souvent « la mise en place d'une Zmel (Zone de mouillage d'équipement léger) ». Cette zone collective hors port, pour des bateaux jusqu'à environ 10 m, assure un développement cohérent et contrôlé. Le coût est moins cher que pour le mouillage individuel. « Cela marche plutôt bien, constate Hervé Thomas. De Concarneau à Douarnenez, il y a une quinzaine de Zmel, pour un bon millier de mouillages ». Il reste encore les mouillages sauvages de l'été, avec l'arrivée de très nombreux bateaux. Un problème plus ponctuel mais pas nécessairement plus facile à gérer.
Source le Télégramme
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Plaisanciers. L'art apprécié du fumage
10 juillet 2014.
Pour la deuxième année consécutive, l'Association des pêcheurs plaisanciers, présidée par Michel Le Berre,
organisait, samedi midi, sur le terre-plein ouest, près de leur local, un déjeuner placé sous le signe du
fumage. Malgré la pluie quasi continue et quelques rafales de vent, la quarantaine de convives (adhérents
accompagnés de leurs conjoints), ont apprécié les différentes espèces de poissons mis en filet puis fumés,
accompagnés de pommes de terre locales en robes des champs.
Source le Télégramme
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A3PL. Sortie à l'île de Batz
Une consultation publique lancée en Bretagne
30 juin 2014.
Vingt-six membres de l'association des pêcheurs plaisanciers de Plobannalec-Lesconil ont participé, dimanche 22,
à une sortie qui les a conduits sur l'île de Batz. Partis des 8 h 30, ils ont rejoint Roscoff vers 10 h 30 pour
l'embarquement. Au programme de la journée, visite de la chapelle Sainte-Anne, visite du jardin Georges-
Delaselle, balades et quartier libre avant de prendre le chemin du retour en longeant la baie de Morlaix.
Source le Télégramme
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A3PL. Un chèque de 200 € à la SNSM
Feu vert pour la concession d'algues
7 mai 2014.
Dans le cadre de ses animations annuelles, l'Association des pêcheurs plaisanciers de Plobannalec-Lesconil
organisait récemment un troc et puces à la salle omnisports de Pont-Plat qui a connu un vif succès, avec plus de
1.200 entrées payantes. Comme elle le fait régulièrement, l'association représentée par son président, Michel Le
Berre, a remis dimanche matin, dans ses locaux installés sur le terre-plein ouest du port, un chèque de 200 € au
président de la SNSM de Loctudy, Jean-René Quéau pour l'entretien du canot de sauvetage Margodig
Source le Télégramme
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A3PL. Un programme chargé
« Pour un dialogue constructif »
22 mars 2014
Tout au long de l'année, l'Association des pêcheurs plaisanciers de Plobannalec-Lesconil organise de nombreuses
animations soit ouvertes au public soit internes. Ainsi cette année, outre les cours de navigation dispensés les
samedis matins, à la Maison des associations, l'association a prévu les manifestations suivantes : troc et puces
le dimanche 20 avril, dont les bulletins d'inscriptions sont disponibles sur le site internet a3pl.fr, séjour à
à l'île de Batz en juin ou début juillet, journée pêche aux Glénan, journée pêche « Challenge Alain-Renou » avec
pesée en fin de matinée, participation à l'organisation de la Fête de la langoustine, journée fumage et
sardinade avec invitation aux adhérents du Guilvinec afin de permettre d'échanger entre ports, et, en fin de
saison, pot de l'amitié.
Source le Télégramme
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A3PL.
Pas de dragage du port avant avril
28 février 2014.
Vingt-trois adhérents ont participé, samedi, à l'assemblée générale de l'Association des pêcheurs plaisanciers, qui s'est tenue à la maison des associations. Président depuis le mois de juillet, Michel Le Berre a dressé le bilan moral de l'association - qui compte six nouveaux adhérents - et abordé plusieurs questions sur l'avenir du port et sur son fonctionnement dans les mois à venir. Interrogé sur le démarrage du dragage du port, le maire a répondu que rien ne serait fait avant début avril.
200 € pour la SNSM
À la question de savoir si les bateaux mouillant dans le Ster pourraient s'amarrer au quai Est pour attendre la marée, l'autorisation est reconduite pour cette année encore. En revanche, les trois premières lignes de mouillage à Langoguen ne seront mises en service que début mai. Quelques autres idées ont également été soumises : disponibilité des bouées pendant la période non occupée, simplification des demandes de mouillage et facilités de paiement. Après la présentation du bilan financier, l'assemblée a fait savoir que, pour la première fois, une demande de subvention serait faite auprès de la mairie. L'association a annoncé qu'un chèque de 200 € serait remis à la SNSM de Loctudy et informé que le site internet de l'ASPL réalisé a reçu 830 connexions par mois en 2013. Le tiers sortant : sont réélus, Michel Le Berre, Jean-Luc Forgeot, Philippe Lebeau ; deux sièges restent à pourvoir.
Source le Télégramme
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